Le paradoxe du prêtre

Publié le par Coolus

Eternel paradoxe du prêtre, il porte en lui les contraires.
Il concilie, au prix de sa vie, la fidélité à Dieu et la fidélité à l'homme.
Il a l'air pauvre et sans force.
Et de fait, il n'y a rien de plus faible qu'un prêtre.
Il n'a en mains ni les moyens politiques, ni les ressources fincanières, ni la force des armes dont les autres se servent pour conquérir la terre.
Sa force à lui, c'est d'être désarmé et de "pouvoir tout en celui qui le fortifie" (Ph 4,13) 

cardinal SUHARD

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G
<br /> Voilà, la force que vous avez dans vos mains sacerdotales qui s'élèvent : "Les mains du prêtre sont créées pour bénir, consacrer, absoudre."<br /> "Oui, parce que ces mains ointes ne se lèvent pas seules, il faut la volonté poussée par l’amour oblatif du prêtre qui les élève pour bénir les autres, pour absoudre les autres ! "<br /> "La bénédiction d’un prêtre a en effet un pouvoir non humain mais divin : ce n’est pas la bénédiction du prêtre, mais de Dieu Trinité ! "<br /> "Combien on a besoin de mains consacrées qui bénissent les fidèles qui, à leur tour, par leur vie, deviendront bénédiction vivante pour le monde."<br /> <br /> VATICAN - Réflexion sacerdotale à l’occasion de la Journée Mondiale de Prière pour la Sanctification des Prêtres, en la Solennité du Sacré-Cœur de Jésus, le 18 juin 2004<br /> <br /> <br />
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Y
<br /> et si notre force à nous c'était de lui donner un peu de notre force à ce prêtre sans force??<br /> <br /> ça force le respect et la méditation tout ça ;-)<br /> <br /> <br />
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